Sans papiers Latin Americains

COMITE LATINO-AMERICAIN POUR LA REGULARISATION Permanence des Latin Americains pour les contrats du travail -- Videos-> http://es.youtube.com/csprbxl -- Para enviar Fotos y videos favor al csprbxl@gmail.com

lunes, 22 de septiembre de 2008

Immigration: le gouvernement veut être en phase avec l'Europe

Le premier ministre Yves Leterme a rencontré samedi à Sotchi, en Russie, son homologue français, François Fillon dont le pays assure actuellement la présidence tournante de l'Union européenne. Les deux premiers ministres se trouvaient à Sotchi à l'occasion d'un forum d'investissement. La Belgique veut se mettre en concordance avec les priorités européennes en matière d'immigration, a-t-on appris.
Les premiers ministres belge et français ont notamment évoqué les questions d'asile et de migration en vue du sommet organisé par la présidence française les 15 et 16 octobre. La vice-première ministre et présidente du cdH, Joëlle Milquet, exige pour la rentrée parlementaire du 14 octobre une solution dans le dossier de l'immigration qui continue de diviser l'actuelle majorité.
PS et cdH exigent une circulaire comprenant des critères de régularisation des sans-papiers basés entre autres choses sur le concept d'ancrage local, conformément à l'accord de gouvernement.
Open Vld-CD&V et MR sont partisans d'un accord global sur les questions de migration, les libéraux insistant notamment sur l'immigration économique. La ministre compétente pour ces matières Annemie Turtelboom (Open Vld) n'a pas réussi à ce stade à trancher et le premier ministre a repris en main la direction des arbitrages.
La Belgique souhaite coordonner sa politique avec les décisions européennes en préparation, a indiqué samedi M. Leterme qui s'en est entretenu avec son homologue français François Fillon. "Nous avons notamment parlé de régularisation et de politique de retour", a indiqué le premier ministre belge. Une réunion européenne Sécurité et Affaires intérieures a lieu la semaine prochaine.
Un Sommet européen aura lieu les 15 et 16 octobre, au lendemain de la date à laquelle le premier ministre est censé donner lecture au parlement de sa déclaration de politique générale, le 14 octobre, échéance fixée par Mme Milquet en ce qui concerne un accord sur les régularisations.
Sur le plan économique, Yves Leterme et François Fillon ont, par ailleurs, une nouvelle fois abordé samedi la question de la Golden Share en vue de protéger les intérêts belges dans le cadre de la fusion entre Suez et Gaz de France (GDF). La presse a écrit récemment à cet égard que la Belgique ne disposerait pas de Golden Share. "La presse dit beaucoup de choses", a commenté samedi M. Leterme selon qui le dossier fait l'objet "d'avancées".
M. Leterme a également mis en avant les intérêts économiques des entreprises belges durant la brève entrevue qu'il a eue avec le premier ministre français. La France doit trouver des compromis dans le cadre du Paquet Climat Energie. "Il s'agit à cet égard, en ce qui nous concerne, de défendre les intérêts des entreprises belges", a commenté Yves Leterme. (belga)

miércoles, 3 de septiembre de 2008

En Belgique, l'expulsion d'un jeune Equatorien relance la polémique sur le droit d'asile

Le sort de Rothman Salazar, 19 ans, un Equatorien expulsé samedi 30 août vers Quito, a relancé, en Belgique, la polémique sur le droit d'asile, une question sur laquelle le gouvernement d'Yves Leterme n'est, après des mois d'hésitation, toujours pas parvenu à trouver un accord.
Le jeune homme était arrivé à Bruxelles il y a six ans avec sa mère, ses trois soeurs et son frère. Tous avaient introduit, en 2006, une demande de régularisation. Elle n'avait été octroyée qu'à la mère, pour des raisons médicales, et plus tard à l'une des soeurs, employée dans une mission diplomatique.
Le jeune homme avait, quant à lui, poursuivi un parcours scolaire jugé exemplaire avec, à la clé, un diplôme de l'enseignement secondaire, la maîtrise de plusieurs langues et la possibilité de devenir électromécanicien après des études supérieures pour lesquelles il était déjà inscrit.
Après avoir épuisé tous les recours, les avocats du jeune homme ont obtenu récemment d'un juge la suspension de l'expulsion en l'attente de l'examen d'une nouvelle demande d'asile, introduite sur la base d'un dossier médical évoquant les difficultés psychologiques du jeune homme. L'Office des étrangers l'a jugée "recevable mais non fondée", ce qui a entraîné, samedi soir, l'expulsion. Encadré par trois policiers, le jeune Salazar a été conduit à l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol et embarqué sans résistance dans un avion.
L'affaire avait un caractère éminemment symbolique pour l'Office des étrangers, une administration contestée. En 2007, elle avait, en effet, été contrainte par un tribunal de renoncer in extremis à l'expulsion d'une mère équatorienne et de sa fille, Angelica, 11 ans. La voiture qui les emmenait vers les Pays-Bas avait dû rebrousser chemin, un juge ayant estimé fondée la plainte pour violences déposées par la mère.

"ANCRAGE LOCAL DURABLE"
"L'affaire Angelica" avait entraîné une forte mobilisation médiatique et politique. Elle avait incité des responsables à exiger la définition de critères clairs pour l'octroi du droit d'asile.
A l'issue de la longue crise institutionnelle qu'a traversée le royaume, le dossier semblait réglé : en mars, les cinq partis de la coalition fédérale étaient apparemment d'accord sur un plan retenant la notion d'"ancrage local durable", basée sur le fait que le demandeur a un travail, parle l'une des langues du pays, y séjourne depuis plusieurs années, etc.
Au vu de son profil, Rothman Salazar aurait dès lors pu continuer à séjourner en Belgique. Problème : le gouvernement n'a pas réussi à rédiger la circulaire énumérant précisément les critères retenus, en raison des différends politiques qui persistent sur ce sujet sensible. Les autorités ont ajouté à la confusion en octroyant des autorisations de séjour provisoires, assorties de permis de travail, à des clandestins qui avaient mené des grèves de la faim. Au début de l'été, d'autres ont tenté, en vain, de forcer des décisions en occupant diverses grues, sur des chantiers.
Le refus apparent de la ministre compétente, la libérale flamande Annemie Turtelboom, de mettre au point sa circulaire, irrite fortement le PS francophone, membre du gouvernement, qui la critique désormais ouvertement.
L'irrésolution du premier ministre Yves Leterme, incapable de forcer un consensus en ce domaine comme dans d'autres, est un autre facteur qui amène à penser que le sort des quelque 150 000 clandestins séjournant dans le pays ne devrait pas être modifié à bref délai.

Un "permis D" pour les clandestins

Alors que les ministres du gouvernement fédéral concernés par la politique d'asile et de l'immigration doivent se rencontrer ce mardi autour du Premier ministre Yves Leterme, La Libre Belgique indique que la ministre de l'Emploi, Joëlle Milquet, a préparé un arrêté royal relatif à la régularisation économique.
Ce texte instaure un permis de travail D pour les ressortissants étrangers qui se trouvent en séjour illégal sur le territoire belge et peuvent prouver qu'ils s'y trouvent depuis au moins le 31 mars 2007. Ils doivent être en possession d'un permis de travail écrit et signé par l'employeur contenant une clause stipulant que l'entrée en vigueur du contrat est subordonnée à l'obtention d'un permis de travail D.
Ce texte n'a pas encore été discuté entre ministres, précise le journal qui ajoute qu'"il revient de plusieurs sources (syndicales, notamment) qu'il est, en l'état, irréaliste".

viernes, 22 de agosto de 2008

Des expulsions qui divisent les partis de la majorité

Del MetroTime:
Les expulsions de Rothman Salazar et de deux jeunes filles tchétchènes ont plus de points communs qu’il n’y paraît. Elles ont, en tout cas, suscité l’émoi et risque bien d’être source de nouvelles tensions entre francophones et Flamands dans la majorité. PS et cdH ne cachent pas leur indignation face à deux exemples flagrants de séparation de famille dans le cadre de procédures d’expulsion. Les deux formations de la majorité exigent une politique plus humaine de la part de l’Office des étrangers dans ce genre de situation. «Il y a quelques mois, l’Office des étrangers nous avait assuré qu’il mènerait une politique qui préserve l’unité des familles. Ce genre de décision est en contradiction avec cet engagement», commente la député PS Linda Musin. Pour rappel, l’Office des étrangers a expulsé mercredi deux filles tchétchènes du pays alors que leur mère était hospitalisée. Cette décision a offusqué même le directeur du centre d’accueil pour demandeurs d’asile de Saint-Trond où se trouvait la famille. Les deux filles majeures ont été renvoyées en Pologne où la famille avait demandé en premier lieu l’asile. La famille serait venue en Belgique après que la mère eut subi une expérience traumatisante en Pologne.
Pour le PS, il s’agit de décisions inhumaines et arbitraires qui démontrent l’impérieuse nécessité d’adopter un cadre clair sur cette matière. «Nous avons l’intention d’interpeller la ministre sur cette question dès la rentrée parlementaire», assure Linda Musin qui entend bien demander également l’audition du directeur de l’Office des étrangers.
A quelques jours de la rentrée, les socialistes rappellent leur souhait d’imposer un moratoire à toutes les expulsions tant que la circulaire de la Ministre de l’Immigration sur les critères de régularisation n’est pas adoptée. «C’est particulièrement frappant dans le cas du jeune Equatorien Rothman Salazar qui est menacé d’expulsion. Ce jeune possède
déjà d’importantes attaches en Belgique, il est scolarisé en Belgique, il vit chez nous depuis longtemps et toute sa famille est ici. Il pourrait sans doute entrer dans les critères de régularisation si le dossier avançait.»
Entre temps, le blocage entre francophones et néerlandophones sur la circulaire de la ministre Annemie Turtleboom risque de provoquer d’autres affaires similaires.n

miércoles, 30 de julio de 2008

ECUADOR LOGRA IMPORTANTE ACUERDO SOBRE MIGRACIONES CON BELGICA


BOLETÍN DE PRENSA No. 499
Quito, 25 de Julio del 2008

El Ministerio de Relaciones Exteriores, Comercio e Integración informó que, en esta fecha, se acaba de rubricar en Bruselas un muy importante Acuerdo Bilateral de Cooperación en Asuntos Consulares y Migratorios entre el Gobierno de la República del Ecuador y el Gobierno del Reino de Bélgica que contrarresta, en ese país, en donde vive un número importante de ecuatorianos, los efectos negativos de la Directiva de Retorno, aprobada por el Parlamento Europeo el pasado 18 de Junio.

Este instrumento, que servirá de ejemplo para futuras negociaciones bilaterales con otros países europeos, consagra el principio de la libre movilidad, así como el del retorno voluntario, digno y sostenible de los emigrantes ecuatorianos. Promueve, además, un proceso de regularización para aquellos emigrantes ecuatorianos que se encuentran en Bélgica en situación irregular, y crea una Comisión bilateral de Alto Nivel sobre temas migratorios, que buscará soluciones a todos aquellos problemas que eventualmente puedan surgir en este campo.

La delegación ecuatoriana, que estuvo presidida por el Embajador Alfonso López, Subsecretario de Servicios Consulares de la Cancillería, y conformada, además ,por autoridades de la Secretaría Nacional del Migrante, de la Dirección General de Migración y miembros de la Embajada del Ecuador en Bruselas, se reunió, además, con la señora Annemie Turtelboom, Ministra de Migración y Asilo de Bélgica, con quien conversó sobre la positiva experiencia ecuatoriana en materia de emigración económica con España, y del beneficioso impacto que tendría para la economía belga su eventual réplica en dicho país.

El mencionado Acuerdo Bilateral será suscrito en Quito, en fecha próxima, por la señora Ministra de Relaciones Exteriores, Comercio e Integración, María Isabel Salvador Crespo y por el señor Freddy Roosemont, Director General de la Oficina de Extranjeros del Reino de Bélgica.

miércoles, 2 de julio de 2008

Recurrirá Bélgica a inmigrantes para suplir 75 mil vacantes

Bruselas, Bélgica- El gobierno de Bélgica recurrirá a los inmigrantes para suplir la vacante de 75 mil puestos de trabajo en todo el país, informó hoy el diario La Libre Belgique.
Con ese propósito, la oficina de extranjería belga decidió crear un "Servicio para la inmigración económica", que se encargará de agilizar la tramitación de visados de empresarios extranjeros y de inmigrantes candidatos a un trabajo en el país.
Según el diario, el objetivo de la medida es reducir el tiempo de espera para los empresarios que necesitan un visado para ejercer su trabajo en Bélgica y "promocionar el mercado laboral belga frente al creciente éxito de otros mercados de trabajo en la Unión Europea" (UE).
La decisión fue anunciada por los ministros belgas de Exteriores, Karel De Gucht, y de Inmigración, Annemie Turtelboom.
El nuevo órgano también orientará a los candidatos hacia las empresas y las regiones belgas donde hay más posibilidades de que sean solicitados.
La agricultura, la construcción y los servicios domésticos son los sectores actualmente más afectados por la falta de mano de obra.
Según estimaciones de la Comisión Europea, de aquí al 2020 la UE necesitará cerca de 20 millones de trabajadores extranjeros para hacer frente a la falta de mano de obra generada por el envejecimiento de su población. (Tomado de Bajo el Sol)

Belgique cherche travailleurs étrangers

Pour tenter de trouver preneur à ses 75.000 emplois vacants, la Belgique a décidé de créer au sein de l'Office des étrangers un "service pour la migration économique", affirme mercredi un journal. Objectif: suivre de près les demandes de visa des hommes d'affaires et des chercheurs d'emploi.
Le service veillera ainsi au bon suivi des procédures et orientera les candidats travailleurs vers les entreprises ou les Régions susceptibles d'être intéressés par les qualifications des demandeurs d'emploi. La décision, qui a été annoncée par les ministres Karel De Gucht (Affaires étrangères) et Annemie Turtelboom (Immigration), a pour but de d'éviter les trop longues périodes d'attentes pour les patrons étrangers souhaitant un visa belge et de permettre à la Belgique d'assurer le marketing de son marché de l'emploi face au succès croissant d'autres marchés de l'emploi au sein de l'Union européenne. La nouvelle stratégie belge vise à satisfaire la pénurie que le pays connaît actuellement dans les secteurs du bâtiment, de l'agriculture, du nettoyage et autres... (Tomado de Trends)

viernes, 27 de junio de 2008

Declaraciones del Presidente ecuatoriano Rafael Correa sobre UE

Chávez defiende inmigrantes contra ley fascista UE

La OEA enviará una misión a la UE para tratar la directiva de inmigración

La propuesta de Perú pretende “soluciones prácticas a través del diálogo”
La Organización de Estados Americanos (OEA) aprobó ayer por unanimidad el envío de una misión especial de alto nivel a Europa para tratar la nueva directiva sobre inmigración aprobada la semana pasada por el Parlamento Europeo.
Así lo acordó el Consejo Permanente de la OEA, reunido en sesión extraordinaria. La propuesta de Perú busca discutir cómo puede afectar la recién aprobada Directiva sobre Procedimientos y Normas para el Retorno de los Nacionales de Terceros Países a los inmigrantes que se encuentran de forma irregular en la Unión Europea.
El ministro de Exteriores de Perú, José Antonio García Belaúnde, propuso ante el Consejo que el secretario general de la OEA, José Miguel Insulza, encabezase la misión especial para manifestar ante la UE la preocupación que ha suscitado la normativa en América Latina.
La proposición peruana tuvo el apoyo de todas las delegaciones presentes en la sesión y el Consejo encomendó definitivamente a José Miguel Insulza que acompañe a una misión de alto nivel de los Estados miembros de la OEA a la Unión Europea para obtener información y “buscar soluciones prácticas a través del diálogo a las inquietudes expresadas” por sus representantes. Tomado del Pais.