COMITE LATINO-AMERICAIN POUR LA REGULARISATION Permanence des Latin Americains pour les contrats du travail -- Videos-> http://es.youtube.com/csprbxl -- Para enviar Fotos y videos favor al csprbxl@gmail.com

viernes, 30 de mayo de 2008

Manifestation de sans-papiers latino-américains à Ixelles

Quelque 200 personnes, dont bon nombre d'origine sud-américaine, ont manifesté vendredi en soirée à Ixelles en vue de réclamer la régularisation des sans-papiers clandestins.
Le cortège de manifestants est parti de la Porte de Namur et a rejoint à pied la place Flagey où était organisée une animation musicale.
Les sans-papiers attendent avec impatience la circulaire de la ministre de la Politique d'asile et de la migration Annemie Turtelboom (Open Vld). Ils craignent toutefois de ne pas entrer dans les critères de régularisation de la future circulaire car selon les organisateurs de la manifestation, une majorité des sans-papiers latino-américains vivent en Belgique dans la clandestinité. Ils espèrent obtenir une régularisation via le travail.
Cinq sans-papiers latino-américains ont entamé vendredi leur onzième jour de grève de la faim à la Maison de l'Amérique latine, située rue du Collège à Ixelles. Le lieu est occupé par une cinquantaine de sans-papiers latino-américains. (belga/7sur7)
30/05/08 22h43

DES PAPIERS POUR LES TRAVAILLEURS SANS DROITS !


Le Comité Latino-Américain Pour la Régularisation (CLPR) membre de la Coordination Nationale des sans papiers (CNSP), a occupé ce jeudi 15 mai les locaux de l’asbl La Maison de l’Amérique Latine à Ixelles. Suite aux négociations avec le conseil d’administration et la propriétaire des lieux nous avons eu l’accord afin de rester et mener une action permanente.
Cette action est menée par des latino-américains de différents pays de notre continent : Péruviens, Chiliens, Equatoriens, Brésiliens, Uruguayens, Salvadoriens, etc. Nous vivons en Belgique depuis de longues années, sommes bien intégrés dans nos quartiers et communes. La plupart d’entre nous travaillons pour subvenir à nos besoins, nous avons fondé des familles et eu des enfants en Belgique, "même des petits enfants", notre futur est ici, aujourd’hui, et nous ne voulons pas partir.
Notre comité latino-américain, qui se bat depuis des années dans le mouvement pour la régularisation en Belgique, veut marquer sa solidarité avec les compagnons de la Coordination nationale dans les actions de grèves de la faim à l’église du Béguinage et l’église de Forest.
Puisque jusqu'à l’heure actuelle le seul critère pour régulariser nos papiers restent les négociations politiques, nous avons décidé de commencer ce lundi 19 mai une grève de la faim illimitée.
Ceci pour ouvrir une négociation rapide avec le ministère de l’immigration et celui du travail jusqu'à l’obtention des papiers !
POUR l'arrêt de la circulaire "par points" du Ministre de l'Immigration !!
POUR la suppression des centres fermés !!
POUR la régularisation de tous les sans papiers !!
Contact au Comité Latinoaméricain Pour la Régularisation ;
César (Comm. Communication) : 0495 49 14 60
María José (Comm. Logistique) : 0498 50 28 81
Edwin (Comm. Soutien) : 0496 30 29 60
( CNSP - Coordination Nationale des Sans Papiers - Belgique )
Oscar Flores / 0496 40 33 09
Parrainage dans les centres fermes : http://parrainage127bis.canalblog.com/

Asile - régularisation : pour quelques appelés, seulement ?

La semaine dernière, le quotidien La Libre Belgique rendait public le projet de la ministre de l'immigration Annemie Turtelboom en matière de régularisation : l’instauration d’un permis à points censé entre autre objectiver le critère d'ancrage local durable. Mais pour prétendre à l'ancrage durable, la circulaire prévoit aussi des conditions …..

Le projet de circulaire d'Annemie Turtelboom énumère les conditions exceptionnelles dans lesquels un sans-papiers peut être régulariser sur base d'une demande faite en Belgique.
Première condition, la longueur déraisonnable de la procédure. Les demandes de régularisation dont le traitement a pris trois quatre ou cinq ans selon les cas devraient être retenues.
Deuxième condition, les motifs humanitaires urgents. Parmi ceux-ci, la circulaire évoque, l'ancrage local durable. Pourrait prétendre à l'ancrage local durable la personne en situation irrégulière qui obtiendrait 70 points sur un total de 100. La pondération de ces points donne beaucoup de poids au travail, il vaut 40 points. Vient ensuite la connaissance de la langue, 20 points. 20 points aussi pour les liens sociaux. La scolarité des enfants et l'avis positif du bourgmestre valent quant à eux chacun 10 points...
Mais pour prétendre à l'ancrage durable, la circulaire prévoit des conditions préalables. Ainsi, la circulaire précise que l'intéressé doit avoir séjourné au moins cinq ans sur le territoire de façon ininterrompue, dont un minimum de deux ans en séjour légal. Ce qui en réduit considérablement le spectre d'application.
Ce projet, actuellement en discussion entre les différents cabinets concernés, divise la majorité. Plus particulièrement épinglé par le PS et le CDH: les fameuses conditions préalables . Ils y seraient opposés.
Le texte doit être discuté en conseil des ministres restreint mercredi prochain.

"Cinq minutes pour réfléchir aux mesures"

Manifestation mardi, à Bruxelles, à l'appel de la FGTB et la CSC et des mouvements de sans-papiers. Une centaine de manifestants se sont rassemblés devant les marches de la Bourse pour protester contre le projet de la circulaire de régularisation de la ministre de la Politique de migration et d'asile Annemie Turtelboom. A 13heures , les participants à la manifestation sont restés figés cinq minutes afin de demander au gouvernement de prendre "cinq minutes pour réfléchir aux mesures qu'ils sont en train de prendre en matière de régularisation".
Pour les organisateurs de la manifestation, le projet de circulaire de la ministre constitue un retour en arrière par rapport à l'accord gouvernemental. Ils considèrent que la prise en compte du travail comme facteur principal d'intégration dénature l'esprit d'une politique de régularisation humanitaire (Link RTBF)

martes, 27 de mayo de 2008

Ministra de Inmigración quiere sistema de puntos para regularizar a ilegales

21 de Mayo de 2008, 06:20am
Bruselas, 21 may (EFE).- La ministra belga de Asilo e Inmigración, Annemie Turtelboom, quiere introducir un sistema de puntos para regularizar a los inmigrantes irregulares, según informa hoy el diario "La Libre Belgique".
El objetivo del proyecto de ley que está elaborando la ministra es especificar y valorar los criterios que deben reunir los inmigrantes que llegaron de forma ilegal para demostrar que tienen un "anclaje local duradero".
Estos inmigrantes son una de las tres categorías de ilegales que podrán reclamar la regularización de su permanencia -según establece el programa del Gobierno que asumió sus funciones a finales de marzo-.
Las otras dos categorías son los extranjeros que solicitaron asilo pero su petición fue procesada muy lentamente por las autoridades y los ilegales que residen en Bélgica desde el 31 de marzo de 2007 que puedan presentar una oferta de empleo fijo o que trabajen como autónomos.
En su proyecto de ley sobre los ilegales con "anclaje local duradero", Turtelboom propone un sistema por el que un residente sin papeles que solicite ser regularizado por razones humanitarias urgentes obtendrá un permiso de residencia si acumula al menos 70 puntos.
Tener trabajo valdrá 40 puntos; seguir o haber seguido un programa de formación reportará 10, igual cifra que supondrá tener hijos escolarizados.
Además, haber seguido un curso de uno de los idiomas oficiales del país valdrá 20 ó 10 puntos, dependiendo del nivel de dominio; un dictámen favorable del alcalde aportará 10 puntos y uno negativo restará esa cifra.
Todavía hay desacuerdos entre los diferentes gabinetes sobre el texto que propone Turtelboom, que se está discutiendo estos días, por ejemplo sobre quién debería juzgar el conocimientolingüístico.
El texto se debería publicar a lo largo de la semana y se discutirá en el Consejo de Ministros del 28 de mayo. EFE (Tomado de Univision)

Soutien Coordinator pour les sans papiers latinos Belgique

Grève de la faim de sans-papiers latino-américains à Ixelles


Tomado del 7sur7
Cinq sans-papiers latino-américains ont entamé lundi, à partir de 16H00, une grève de la faim à durée illimitée à la Maison de l'Amérique latine, située rue du Collège à Ixelles, a-t-on appris lors d'un point presse. D'autres ressortissants latino-méricains pourraient rejoindre dans leur action les trois hommes de nationalité équatorienne, bolivienne et brésilienne et les deux femmes originaires du Chili et du Pérou.
Les grévistes de la faim n'ont pas attendu la circulaire sur la régularisation des sans-papiers qui avait été annoncée par la ministre de la politique d'asile et de la migration Annemie Turtelboom pour le 20 mai ou au plus tard début juin. Les grévistes de la faim estiment que les clandestins, qui représentent selon eux une majorité des sans-papiers latino-américains en Belgique, n'entreront pas dans les critères de régularisation de la future circulaire.
"La majorité des latino-américains n'ont pas introduit de dossier de demande en Belgique mais sont bien intégrés. La plupart parlent au moins une langue nationale belge. Beaucoup travaillent dans la construction ou comme femmes de ménage. Mais même si la promesse d'un contrat de travail devait être retenu comme critère de régularisation, notre situation resterait précaire", a expliqué Cesar Briones, un porte-parole du comité latino-américain de la Coordination nationale des sans-papiers. "Il est très difficile pour nous de décrocher un contrat de travail. Sur les 600 membre de la coordination, à peine une vingtaine ont un contrat de travail. Et nous risquons de dépendre totalement des patrons avec un permis B, qui est limité dans le temps", a-t-il ajouté.
"Le permis de séjour est conditionné à l'octroi du permis de travail. Nous demandons à ce qu'on applique le principe inverse. Il faut pouvoir garantir aux travailleurs une durée de séjour pour qu"ils puissent le cas échéant changer d'employeur et ne pas dépendre du bon vouloir d'un seul. Nous demandons au moins le respect de l'accord gouvernemental qui cite le travail, l'intégration, et la longueur de la procédure comme critères de régularisations mais nous ne sommes pas optimistes. La note et les différentes prises de position de la ministre Turtelboom sont en retrait par rapport à l'accord gouvernemental", a indiqué Oscar Florès, porte-parole de la Coordination contre les rafles, les expulsions et pour la régularisation (CRER).
Une cinquantaine de sans-papiers latino-américains occupent la Maison de l'Amérique latine depuis jeudi. A l'église du Béguinage à Bruxelles, 170 sans-papiers, dont une vingtaine de femmes, mènent une grève de la faim depuis le 8 mai. Quelque 25 occupants de l'église Saint-Curé d'Ars à Forest ont entamé un jeûne depuis une semaine et deux d'entre eux ont été emmenés à l'hôpital. Les différents grévistes de la faim se disent solidaires les uns vis-à-vis des autres. (belga)
19/05/08 19h22 (7sur7)

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